| | sucer des glands ne fera pas de toi un écureuil | |
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Javier Plènozas Dr. JEKYLL & Mr CONNARD
Messages : 1691 Emménagement : 25/05/2016 Pseudo : anarchy Avatar : Diego Barrueco (anarchy) Autres comptes : la belle aux princes presque charmants #dinogirl Bonus à long terme : 1319 Âge : vingt huit ans Statut : 404 error #cotorepdulove Occupation : officiellement grand patron d'entreprise, officieusement patron de l'office du plaisir Rps en cours : Coco & Ike & Rae & Amos & Riley & Cal & Tc commun | Sujet: sucer des glands ne fera pas de toi un écureuil Jeu 26 Mai - 0:09 | |
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Je suis le sentiment de rejet exacerbé de Jack... Je suis le cœur brisé de Jack... Je suis l’absence totale de surprise de Jack... Je suis la vengeance narquoise de Jack... Je suis le canal biliaire irrité de Jack.... Je suis la sueur froide de Jack. @crédit + kid cudi ★★★
JAVIER PLENOZAS FEATURING DIEGO BARRUECO
nom : plènozas comme la grosse firme de papa qui suinte plus le vice que le réglo. comme la famille la plus importante de la ville. comme le nom qui fait naître les murmures mais, rarement la sincérité prénoms : javier, parce que ça plaisait à maman de te donner le nom d'un vieux mort y'a longtemps, parce que papa il avait pas son mot à dire. yago aussi, un hommage, puis ça sert bien pour les affaires. date et lieu de naissance : 03 mai, 1989 à montsimpa. âge : 27 ans. statut civil : officiellement l'homme parfait d'un petit couple heureux, ravissant les plus curieux, faisant jalouser les plus rageux. officieusement l'homme insatisfait de ce qu'il possède déjà, amoureux des corps généreux. occupation :ça se rêvait fils de, la journée à rien penser, entre un petit cul ou deux. officiellement le boss sans ambition de Plènozas Industrie. officieusement dealer de femmes avec plus de conviction, une fois la nuit tombée. orientation sexuelle :le sexe opposé sans aucun doute. les courbes et la complexité féminine, il n'y a que ça qui fait rêver. fonds du foyer : $$$$$$(...)$ à en faire pâlir crésus et à en faire gerber les plus démunies. désir à long terme : oh si seulement la vie de nuit et la vie de jour ne pouvaient jamais se rencontrer. si l'équilibre parfait pouvait ne jamais s'écrouler. si seulement tout ça, pouvait demeurer. il en mourait heureux de n'avoir que trop réussi. il en mourait comblé de n'avoir jamais échoué. compétences : bluffeur (10/10) - charismatique (07/10) - charmeur (10/10) - fidélité (00/10) - créativité (10/10) - sympathie (02/10) - sportif (10/10) - ménage (09/10) - piano (08/10) - cuisine (00/10) - vendeur de femmes (10/10) - sociabilité (04/10) - organisation (10/10) - sincère (01/10)- amour (404 error) - loyal (08/10) - respect (01/10) - traits de caractère : assez manipulateur, histoire d'obtenir tout ce que tu veux ou simplement pour retourner le cerveau ou influencer le monde autour de toi. charmeur de ses dames, toujours le mot pour faire plaisir, ou faire chavirer les coeurs. tu peux pas t'empêcher de jouer de tes charmes pour contenter la gente féminine. réfléchi, bien que parfois assez impulsif, tu prends souvent le temps de la réflexion quand il s'agit de sujets important. t'as grandi dans un milieu où il vaut mieux réfléchir avant de parler et tu l'appliques toujours. leader, t'as besoin de diriger, d'être le premier, t'as toujours été le premier en tout et c'est pas près de changer. t'as se besoin inconditionnel de tout diriger, d'être au-dessus de tout, mais surtout de savoir que seul tes décisions comptent. observateur, tu préfères observer plutôt que parler. c'est fou tout ce qu'on apprend en observant les gens. t'es assez en retrait pour ça, pas du genre à te mettre en avant, c'est trop important d'analyser la situation avant d'agir. artiste, parce que plus jeune t'as baigné dans la musique et l'art. t'as un besoin trop important de créer à combler. pas du genre très causant, tu préfères t'exprimer autrement. possessif, quand tu tiens à quelque chose tu as du mal à y renoncer. que ça soit en amour, en amitié ou pour le reste, tu as beaucoup de mal à partager. il n'y a qu'avec le fric que tu peux te montrer généreux. protecteur, t'as toujours été le plus grand, le plus fort, c'est dans ta nature. tu te sens obligé de veiller sur ce que tu possèdes ou non. tu crains qu'il n'arrive de mauvaises choses aux gens à qui tu tiens, pour ça tu ferais n'importe quoi. secret, parce que t'es quelques d'assez mystérieux. tu traces ta route et fais tes petites affaires sans t'étaler. t'es pas non plus le genre de personne qui se fait remarquer. c'est une façon de te protéger, de ne pas trop te délivrer aux yeux des autres. énergique, parce que t'es comme hyperactif. t'as besoin de te dépenser, de toujours être occupé, t'as trop d'énergie à revendre. rester sans rien faire est simplement inconcevable pour toi. arrogant, parfois ça t'arrive de l'être. chassez le naturel et il revient au galop. dans le monde dans lequel t'as grandi, c'est presque impensable d'échapper à ça. tu fais preuve d'une grande fierté, parfois tu peux être assez méprisant aussi. maniaque, dans ta vie, dans ton travail. tu organises tout avec beaucoup d'attention. pour toi il n'y a que l'ordre qui compte et qui permet de ne pas commettre d'erreur, mais surtout de garder le contrôle. têtu, une vraie tête de mule ouais. t'es pas du genre à renoncer quand t'estimes avoir raison. t'es pas non plus du genre à te laisser marcher sur les pieds. consciencieux, t’es très scrupuleux dans tout ce que tu fais. tu prends soin de chaque chose que tu entreprends. t’es assez attentifs parce que t’as le soucis du détail. t’aime que tout soit parfais, surtout ce que tu fais toi. franc, parce que t’as un franc parlé, pas parce que tu agis de façon sincère. non, t’es juste pas du genre à mâcher tes mots. quand t’as quelque chose à dire, tu te fais pas prier pour le dire. en ce qui concerne ce que tu penses, tu le caches rarement, même si t’es pas le plus honnête des hommes. colérique, parce que tu supportes pas qu’on brave ton autorité. t’es du genre à t’emporter quand les choses ne vont pas comme tu le voulais. on pourrait te qualifier de capricieux aussi dans un sens. quand tu n’obtiens pas ce que tu veux, tu le fais savoir. aspiration : argent.
signe astrologique : taureau prénom de l'ami imaginaire : miguelito plat préféré : homard thermidor couleur préférée : bleu nuit genre de musique apprécié : pop attirances : les blondes - les sous-vêtements - les caractères bien trempés - tues l'amour : l'embonpoint - les mauvaises odeurs - les brunes Les vilains petits détails && tu as toujours été du genre vilain petit canard. celui qui n'est pas né sous une bonne étoile, ni dans la bonne famille. tu as toujours eu l'impression de faire tâche au milieu, sur les photos de famille et malheureusement ça n'a jamais été qu'une impression && plus jeune, tu étais plutôt du genre gamin difficile. tu as souvent eu des problèmes avec l'autorité de tes parents. tu t'es perdu dans un groupe de potes, tous plus différents de toi, t'identifiant à eux, pour ce que tu aurais voulu être. Pour Sony, Desi, Ike et Caleb, t'aurais pu tout donner à l'époque, t'aurais même renoncé à celui que tu étais vraiment pour tes frères. && aujourd'hui tu as de nouveau embrassé ta condition de riche, pour faire bonne figure et jouer les matures. tu demeures en constante opposition avec les illusions parfaites que camoufle les dorures de ta vie mais, tu fais avec, conscient que tu n'as pas le choix && comme si une vie ce n'était pas amplement suffisant, tu joues sur deux tableaux. le fils prodige à la maison, promut à un grand avenir dans le monde des affaires scientifiques et dealer de femme à la nuit tombée. && tu as commencé ton petit trafique de filles dès la fin du lycée, tu as surfé sur la vague des filles faciles pour te faire un peu plus de fric et débuter ton commerce pas net. depuis tu joues les proxo à grande échelle même si tu ne l’assumes pas au grand jour. && dans ce milieu t’es connu sous le nom de Yago, pour pas mélanger tes deux vies. c’est ton soucis de bien faire les choses pour éviter que ton petit jeu se retourne contre toi qui t’a poussé à avoir une sorte de double identité, double vie. && ça fait deux ans que tu occupes la tête de Plènozas Industrie, depuis la mort de ton père. c’est un héritage dont tu te serais passé volontiers si tu avais eu ton mot à dire. c’est une évidence que ce monde là n’est pas pour toi. && tu as déjà eu une histoire avec une de tes filles, qui s'est plutôt mal terminée pour toi comme pour elle. elle a marqué ton coeur au fer rouge avant de le balancer aux ordures. depuis tu t'es juré de ne plus jamais mélanger boulot avec parties de fesses, encore moins sentiments && en restant dans l'idée de sentimentalité. tu es totalement handicapé avec cette notion. se sacrifier au prix d'un amour inconditionnel, très peu pour toi. tu as déjà essayé avec cette pécheresse qui a fait de toi un homme sans compassion, tu as même réessayé avec ta meilleure amie mais, la notion d'exclusivité demeure toujours aussi abstraite à tes yeux && malgré ces principes de non-attachement, tes manies à fuir l'engagement sentimental se retrouvent chamboulées. t'es tombé sur un obstacle, réunissant tout ce que tu as en horreur. elle est sauvage et indépendante, brune et arrogante. elle bosse pour toi et tu la rejette pourtant, tu demeure incapable d'y renoncer. Riley c'est la belle épineuse qui te rend fou, c'est la belle empoisonnante qui te rend doux. && plus jeune on t'a forcé à apprendre le piano. ce qui était une corvée est devenue une passion avec le temps. ça te permet de te vider la tête parfois. te as aussi été un adepte du street art pendant l'adolescence et t'en gardes quelques plaisirs encore aujourd'hui, quand tu trouves du temps. && t’es incroyablement phobique de la désorganisation, du bordel et de la saleté. c’est presque devenu un trouble compulsif. dans tout ce que tu fais tu essayes de veiller à ça le plus possible, même dans ton travail ta maniaquerie est évidente. && malgré que tu sois né à montsimpa tu parles plus espagnol qu'autre chose et en garde d'ailleurs un accent très marqué lorsqu'il s'agit de parler simlish. tu parles également anglais, italien et français et russe. tu as beaucoup voyagé étant plus jeune et ce fut ta façon à toi de garder un souvenir de ses voyages, un petit plus très bénéfique pour parler business aujourd'hui. pseudo/prénom : anarchy scénario ou inventé : scénario de la belle Riley autres persos :Le paresseux qui cherche mani tes impressions sur le forum : sérieux, je dois encore le dire que je vous aime ? où l'avez-vous connu : au paradis - Code:
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<b>DIEGO BARRUECO</b> - javier plènozas
Dernière édition par Javier Plènozas le Dim 6 Nov - 12:42, édité 24 fois |
| | | Javier Plènozas Dr. JEKYLL & Mr CONNARD
Messages : 1691 Emménagement : 25/05/2016 Pseudo : anarchy Avatar : Diego Barrueco (anarchy) Autres comptes : la belle aux princes presque charmants #dinogirl Bonus à long terme : 1319 Âge : vingt huit ans Statut : 404 error #cotorepdulove Occupation : officiellement grand patron d'entreprise, officieusement patron de l'office du plaisir Rps en cours : Coco & Ike & Rae & Amos & Riley & Cal & Tc commun | Sujet: Re: sucer des glands ne fera pas de toi un écureuil Jeu 26 Mai - 0:09 | |
| Il était une fois, une histoire de Sims Past...
« ¡Deja de hablar así, me avergüenzas! » Les mots claques dans sa bouche, comme sa main qui s'abat sur ta joue sans aucun scrupule. Elle ne te touche jamais, sauf quand tu dépasses les bornes comme aujourd'hui. Elle ne parle jamais dans sa langue maternelle, sauf quand tu la pousses à bout comme aujourd'hui. Quand elle a trop honte de ses mots, trop honte de toi, trop honte d'elle-même pour avoir donné naissance à un gamin comme toi. La voyante lui avait promis une belle vie, de beaux enfants, beaucoup d'argent. Il n'y a que l'argent qu'elle a eu pour se consoler. La belle vie s'est ternie avec un mariage gâté par les tromperies. Les beaux enfants se sont effacés derrière tes caprices d'enfant roi. « Non ! » Tu as déjà filé par peur de recevoir de nouveau sa main en plein visage. Tes rires s’échappent dans le couloir pour narguer sa colère déjà bien trop pesante. Elle a renoncé à te suivre, préférant sombrer sous le flot de larmes de son désespoirs. Elle porte trop mal le deuil de sa vie. Tu n’as que faire de ses remontrances, de sa rancoeur, de son amertume. Du haut de tes six ans, tu cherches désespérément à fuir son regard qui te reproche depuis le premier jour, la misère de sa triste vie. Comme si tu étais le seul responsable. Elle ne t'a jamais aimé pour ainsi dire et tu lui as toujours rendu. C'est comme si le jour de ta naissance avait vu dans tes yeux tous les vices dont tu serais empli en grandissant. Le bonheur avait dû faire place à la terreur qui ne l'a jamais abandonné. « Tu ne devrais pas parler à ta mère comme ça Javier… » Il a pris la peine de venir le soir même. Dans un moment privilégié entre un père et son fils après une énième crise de ta génitrice. Il a toujours été plus doux, histoire de se donner bonne conscience pour tous les tords qu’il vous a fait. C’était une façon de se dire qu’il avait essayé de prendre soin de sa famille, pour que vous n’ayez jamais à lui reprocher quoi que ce soit. Tu n’as même pas pris la peine d’écouter ce qu’il avait à dire, préférant sombrer dans ton sommeil. C’est comme ça que ton enfance s’est déroulée. Entre l’absence paternelle d’un homme plus désireux de s’occuper de sa secrétaire que sa famille et une mère bien trop désabusée qui n’a jamais trouvé la force de tout recommencer. Ton adolescence ne s'est pas passée dans de meilleures conditions. C'est ce qu'on peut appeler une adolescence catastrophique. Ils ont essayé de te comprendre, de jouer la carte des parents ouverts et compréhensifs, sans succès.
« La fille là-bas, elle dit que pour cent billets elle accepte… » Il a déjà l'eau à la bouche rien qu'en disant ces mots. T'acceptes sa poignée de main en offrant ton plus beau sourire de triomphe. C'est la première fois que tu te lances dans le recrutement de nana destinées à satisfaire les désirs les plus fous de tes connaissances. T'aurais jamais imaginé que quelques années plus tard ça ferait toujours parti de ta vie. A cette époque t'étais plutôt du genre petit délinquant maladroit. Trafiques entre potes, vandalisme, problèmes d'autorité. La petite frappe des bacs à sables, du genre qui a encore du mal à s'assumer et qui ne résiste pas à l'idée de casser des gueules. « Espèce de petit con ! Tu te prends pour un grand ?! » Il attendait une réponse, mais tu ne lui a jamais donné. Il est passé pour le plus grand des cons devant les flics et il l'a longtemps gardé en travers de la gorge. Il n'a jamais su que tu vendais des filles. Il savait juste pour la drogue, pour le vandalisme, pour les fight et ça suffisait. Tu avais dix-huit ans quand il a compris que tous les espoirs qu'il avait mis en toi ne mèneraient à rien. Ta mère a lancé pour la énième fois ses fameux jurons à ton égard, digérant assez mal sa colère. C'est ce jour là que vous vous êtes perdu pour de bon, tous les trois. Le reste n'a pas eu plus d'importance jusqu'à ce que tu entres dans la vingtaine. Forcé de calmer ton mauvais jeu, t'es plus ou moins rentré dans le rang. Tu as cherché à apaiser les tentions pour éviter de te retrouver jeté, renier, déshérité. « Tu manges avec nous ce soir ? » Tu as répondu à la négative, comme quoi t'avais encore du travail pour l'entreprise familiale. Non, en fait tu mènes simplement une double vie depuis quelques temps. La journée tu t'appliques à jouer les fils prodigieux, intéressé par l'idée de reprendre l'empire de son père. Quand la nuit tombe, tu changes de masque pour devenir le proxénète le plus insoupçonné du coin. Si le jour tu tentes de te racheter une conscience, la nuit tous tes efforts disparaissent en fumé. Tu es encore trop jeune pour t’en préoccuper, la seule chose qui compte c’est que tout ça puisse rester secret.
Le soleil qui perce à travers les rideaux virevoltants, caressant la peau avec douceur. Le sommeil qui tire sa révérence après une nuit de déchéance. Le bruit délicat d'une maison qui prend vie. Tu sursautes constatant avec stupeur que tu t'es laissé aller aux bras de Morphée plus longtemps que tu ne l'aurais imaginé. Il est presque trop tard, même si c'est toujours trop tôt à ton goût. Trop tard pour ne pas se faire remarquer, trop tard pour te faire oublier. « Lève-toi, faut que tu partes ! » Tu bouscules le petit bout de femme à côté de toi qui grogne, avant de te lever pour récupérer tes vêtements à la hâte. T'as besoin de faire le tour de la chambre pour tout récupérer, résultat d'une nuit un peu trop sauvage. Tu te rhabilles en priant pour que tes folies n'aient alertés personne. « Il est quel l'heure ? » Sa voix est encore noyée de sommeille. Elle commence à remuer un peu, trop peu à ton goût. « L'heure que tu dégages ! » Tes mots sont un peu bruts, ta voix est un peu sèche mais, t'es trop pressé par le temps. Cette fois elle a sorti son nez de dessous les draps pour te regarder avec des yeux noirs. T'en profite pour lui retirer les couvertures, au cas où elle déciderait de s'y lover à nouveau. Ses yeux ne cessent de te dévorer avec toujours la même intensité. « Pardon… C'est juste que j'veux pas qu'ils te trouvent là » Tu comprends que le poids de tes mots l'ont blessé. Tu sais qu'elle a l'habitude d'entendre ça, entre deux clients lorsqu'ils ont terminé de soulager leurs envies avec elle. Doucement tu retournes à ses côtés, le regard suppliant pour qu'elle accepte de te pardonner. Tes bras s'enroulent autour d'elle avec une tendresse que tu ne te connais pas. Elle t'embrasse avec fougue et si le temps n'était pas contre vous t'y succomberait de nouveau. « On se revoit ce soir alors ? » Tu lui réponds en lui rendant son baiser, déjà impatient de la retrouver. Votre étreinte terminée, elle récupère à son tour ses affaires avant de filer dans un courant d'air. Et, le temps a passé. Le temps a tout changé. Le temps a apporté avec lui son lot de regrets. La pluie de billets s'en vient retomber. Tu l'aperçois au travers, délicieusement indécente dans son porte-jarretelles flambant neuf. Du genre qui crève les yeux par l'accumulation de chiffres sur l'étiquette du prix. Elle s'enivre des billets verts, elle s'enivre du succès. C'est la première fois que tu la vois comme ça, c'est la première fois qu'elle t'apparaît comme ça. Ses yeux qui crient victoire. Son visage paré de triomphe. Sa bouche qui embrasse le bonheur. « C'est fini, enfin… » Souffle chaud qui vient te brûler le coeur. Elle ne t'a pas vu dans sa transe. Elle t'a oublié dans son ombre. Étrangement, elle n'a jamais été aussi belle que ce soir. Abandonnée de ses traits tirés par l'angoisse, abandonnée de sa noirceur. Elle rayonne d'une joie que tu ne lui connais pas. « Qu'est-ce qui est fini ? » Question innocente, enveloppé d'un sourire. Toi aussi tu as envie de partager son bonheur, toi aussi tu as envie de t'enivrer de cette joie insouciante. Tu la rejoints, poussé par l'impatience, ignorant sa soudaine mine boudeuse. « Tout, tout est fini, toi, moi, nous, tout ça, toute cette merde » Sourire carnassier sur ses lèvres pulpeuses. Détermination affreuse dans ses yeux voilés. Elle t'a stoppé dans ton élan. Tu demeures en arrêt, vidé de compréhension. Ton sourire vient se faner. Ton visage vient se crisper. Elle n'a pas de pitié dans ses yeux. Elle n'a pas de pitié dans son coeur. Poignardé, c'est tout ce que tu es. « De quoi tu parles ? » Tu fais le con, tu fais l'idiot. Tu fais celui qui ne comprend pas, celui qui ne voit pas. Pourtant, c'est là, ça s'impose à toi sans aucune compassion. Et dans cette nuit, ce que tu croyais acquis s’est échappé. T’a échappé. Pas d’amour. Pas de rêves. Pas de vie à construire ensemble. Pas de vérité. Pas de pitié. Palabre violent où tous tes espoirs viennent mourir Et, tu comprends. Tu comprends qu’elle s’en va sans rien te laisser. Tu comprends que ce soir, tout va s’arrêter. Ton monde va cesser de tourner. Ton coeur ne s’arrêtera jamais de saigner, éventré par sa trahison.
« Il a fait une crise cardiaque… » Tu sers les dents à ces mots. Quelqu'un de normalement constitué aurait probablement fondu en larme comme ta pauvre mère qui s'accroche désespérément à ton bras. T'es resté de marbre, mesurant avec effroi ce que tout cela allait représenter. Ça fait seulement quelques mois que tu t'es fait une raison pour presque rentrer dans le rang. La journée tu te pavanes avec au bras une jolie petite brune que tu présentes comme ta petite-amie sans que ça soit forcément comme ça que tu la définirait. Tu réfléchis au moyen le plus propre de te débarrasser de l'emprise de tes parents sans rien risquer. C'est comme si le destin avait décidé de ne pas te laisser t'en tirer. Ton père s'est envolé en te laissant une tonne de responsabilités que tu n'avais jamais envisagées. T'es censé prendre la suite, continuer ta petite vie d'homme rangé, probablement te marier. Dans l'idée, t'es censé reprendre sa vie, à l'identique, mais ça tu préfères le refuser. « Monsieur Plènozas, votre rendez-vous est arrivé. » Ça sonne comme un ordre dans sa bouche, d'ailleurs elle s'en est aperçu quand tu as relevé ton regard noir sur elle. Elle fait de son mieux pour t'encourager, mais tu n'y mets aucun coeur. Tu as la tête ailleurs depuis deux ans. Tu te pointes au travail tous les jours pour faire acte de présence, mais la motivation te manque. Ces derniers temps t'es plus préoccupé par les minettes vulgaires qui arpentent le trottoir pour toi plutôt par le coût de revient des productions de l'entreprise. Chaque jours tu te réveilles avec l'impression d'avoir été arnaqué en beauté. Ça fini par former une boule dans ta gorge. Ton visage s'est durci. Tu t'es renfermé. Tu as de nouveau des besoins d'évasion pour échapper à ses terribles obligations. T'es fatigué de te partager en deux. T'es épuisé de te cacher. « Je suis fière de toi mon fils » Elle a l'air sincère, pourtant elle a ce petit pli au coin de sa lèvre qui trahie le contraire. C'est impossible, mais parfois tu as l'impression qu'elle sait tout. Des fois tu pries pour qu'elle le dise à voix haute dans ces moments-là. Ça te soulagerait que ça vienne d'elle, parce que tu es toujours aussi incapable de l'assumer. Elle dit simplement ça pour se rassurer, comme pour se confirmer que tu es bien devenu le fils qu'elle espérait. Elle ne voit plus le mal sous tes sourires faux. Elle ne voit plus l'amertume dans tes yeux vides. Elle ne voit plus la rancoeur dans tes traits durcis. Et tu traînes encore sa fierté comme un fardeau, comme pratiquement tout le reste de ta triste vie.
Now...
Ce besoin d'être à ses côtés, comme aujourd'hui, c'est tout nouveau. C'est différent de tout ce que tu as été pour elle jusqu'ici. Tu as laissé ton indifférence forcée de côté comprenant que ça ne mènerait plus à rien. Comprenant que tu l'avais puni pour un crime dont elle n'est pas coupable, dont elle n'a même jamais eu conscience. Aujourd'hui, tu as la possibilité de changer ça, de lui offrir autre chose qu'un mur de béton auquel s'adresser. Tu sens qu'elle a besoin de se sentir soutenue, comprise. Dans le fond tu le fais aussi pour toi, pour te racheter. Pour lui montrer que tu vaux plus que tu as bien voulu le faire croire jusqu'ici. Tu le fais aussi parce que ça t'apaisera de savoir qu'au moins une fois tu lui auras apporté ton soutien, autrement que pour ton propre intérêt. Seulement pour elle. Pour son bien. Pour votre amitié qui aurait dû perdurer mais, que tu as lâchement rejetée. « J'ai besoin de toi, Yago. » Ton ventre se sert. Ton coeur fait un raté. Tu sais qu'elle a besoin de toi. Elle te l'a déjà prouvé à plusieurs reprises, pourtant cette fois c'est différent. C'est différent parce que pour une fois elle le dit. Pour une fois elle l'avoue au lieu de se débattre pour te prouver le contraire. Pour une fois ce n'est pas qu'une suggestion. Elle pourrait bien rester sous ta coupe sans rien en échange pour les six mois à venir, que ça te serait égal. « Je serai toujours là, temps que tu auras besoin de moi » Tu ne partiras que quand elle t'en intimera l'ordre, sans quoi tu demeureras là. Tu te feras le gardien de sa douleur. Tu te feras le veilleur de son sommeil. Tu te feras le soldat lutant contre sa solitude. Pour toutes ces fois où tu l'as blessée, où tu l'as troublée, où tu l'as abandonnée. Et tu te fais l'intime promesse qu'à partir de cet instant, tu ne laisseras plus rien se mettre en travers de votre chemin.
« Je te faisais confiance, Javier. » Et, malgré toi, c'est terminé. Tu le perçois dans ses mots qui parlent déjà au passé. Tout ça, ça concernait hier mais, ça ne concerne plus aujourd'hui et encore moins demain. C'est terminé, avant d'avoir même commencé. Alors, il y a ce réflexe stupide de survie qui vient remonter à la surface, celui qui t'intime de tout tenter pour ne pas tout gâcher. Cette force venue d'on ne sait où qui te pousse à te rapprocher d'elle à nouveau plutôt que de la fuir. Ce n'est pas d'elle dont tu dois avoir peur, seulement de toi. De toi et de cette détresse implacable qui te force à la retrouver. Elle te semblait si lointaine et pourtant en quelques pas à peine tu te retrouves à quelques centimètres d'elle. Il te suffit d'un geste pour venir abattre tes lèvres sur les siennes. Ta main se fraye un chemin dans sa nuque pour assurer ta prise et l'empêcher de se défiler. C'est loin d'un baiser doux et fébrile, c'est plutôt brûlant et brutal. De ceux où on perçoit plus la rage que la tendresse. De ceux qu'ont craint plutôt qu'on savoure. Même toi, ça te laisse un goût amer et écoeurant dans la bouche quand tu parviens enfin à t'en détacher. Ce n'est pas comme ça que tu voyais les choses. Ce n'est pas de cette manière dont ça devait se passer. « Tu t'es dis que peut-être t'aurais une chance, parce que dans le fond ça t'excite tout ça, tu mouilles rien qu'à cette idée, du coup ça t'emmerde de te dire que tu t'es trompé sur moi depuis le début » Parce que tu aimerais que ça soit vrai. Tu aimerais que ce que tu ressentes pour elle ne soit pas à sens unique. Tu aimerais pouvoir enfin te soulager de ce fardeau et que tout ça puisse enfin avoir un sens. Et, il y a ce sentiment horrible d'être condamné, d'être coincé qui te ronge de l'intérieur. Alors, finalement, c'est toi qui prends la décision d'arracher ce monstrueux pansement pour abréger tes souffrances Vos souffrances. Même si pour ça tu dois la perdre une bonne fois pour toutes en te rendant le plus détestable possible. Inconsciemment tu veux qu'elle te déteste autant que toi tu la détestes de t'avoir rendu à ce point dépendant. « Putain, tu me dégoûtes. » Riley, elle est libre comme la brise. Elle, elle n'est plus rien entre tes mains. Juste, une plaie ouverte au néant. Elle n'a rien de plus à attendre de toi et même si c'était le cas, elle ne le ferait pas. Elle ne pourrait pas.
Tu l'as compris quand elle est partie. Elle s'est envolée pour ne pas se retrouver coincée par tes mensonges. Tu l'as compris quand ses paroles acides sont devenues des coups, des injures. Tu l'as compris quand sa confiance en toi s'est anéantie et qu’elle t’a craché sa haine en pleine figure. Le réaliser est douloureux, dans le ventre ça fait des noeuds, mais il est trop tard. Il ne reste que ces voix vagues qui ont essayé de te convaincre. Ces voix obsédantes qui t'ont toutes confier que tu devais essayer si elle avait vraiment une quelconque valeur à tes yeux. Ce n'est pas aujourd'hui qu'il faut regretter, ça fait des années que tu aurais dû y songer et tout faire pour l’éviter. « A chaque fois tu me fais péter les plombs et je finis toujours par revenir comme un gentil toutou, pour m'excuser… Crois moi, je le ferais pas si tout ça, ça n'avait pas d'importance » Loin de la rage aveugle qui vous possédait. Loin de la colère sourde qui vous aveuglait. Loin de l'amertume injustifiée. Tu retrouves cette fugace sérénité qui t'a tant marqué la dernière fois. Tu retrouves la saveur délicieuse de cet instant d'intimité bercé d'une douceur acidulée. Tu laisses derrière toi les reproches, la méfiance, les doutes. Tu capitules, déposant les armes à ses pieds, en toute humilité. Tu ne veux plus te battre contre elle, contre les évidences, parce que tu as compris que ça ne vous mènerait nulle part. Cette bataille est perdue d'avance. Dès l'instant où tu lui as promis de toujours veiller sur elle, tu as gravé dans le marbre votre destin misérable. Tu veux qu'il soit beau, sain et tranquille. Tu ne veux plus des cries, des coups et regrets. « Donc, c'est de ma faute si t'es un connard avec moi ? » Ça pique. C'est presque aussi violent qu'une claque. Ce n'est pas vraiment comme ça que tu voyais les choses. Ce n'est pas vraiment comme ça que tu voulais qu'elle le comprenne. Chaque fois, tu reviens faisant miroiter la possibilité que la tempête est enfin terminée. Puis, ça t'échappe de nouveau. Égoïstement, tu refuses tout ça à nouveau, piétinant sans considération le peu de tranquillité qu'il pouvait y avoir entre vous. C'est plus fort que toi. Tu ne sais même pas comment tu pourrais lui expliquer les raisons d'un tel comportement. Dans le fond, tu ne le sais pas toi-même. C'est indépendant de ta volonté. « Tu sais je tiens à toi quand même… un peu » Tu aimerais qu'elle puisse y croire, même si tu lui en as jamais donné la preuve. Tu es persuadé qu'un jour, ce sera possible. Tu es persuadé qu'un jour elle n'en doutera plus. Tu t'en fais la promesse intime, décidé à ne plus lui laisser de quoi en douter. Tu es fatigué de lutter. Tu es fatigué de faire semblant. Tu n'en as plus la force, encore moins l’envie. « Moi aussi, je tiens à toi. » Ça te réchauffe à nouveau le coeur. Ça te redonne à nouveau l'espoir. A cet instant, tu as presque envie de l'enfermer dans tes bras pour qu'elle n'en réchappe jamais mais, la seule chose à laquelle tu te raccroches, ce sont ses yeux. Tu prends conscience qu'il a été tout aussi dur pour elle que pour toi, de vous dire tout ça. Ça fait mal autant que ça fait du bien mais, c'est nécessaire. « Je te promets que c'est terminé tout ça… »
Il était donc là, le drame de votre histoire. Des amants maudits que rien ni personne n'aurait permis. Elle était une Capulet, Juliette des temps modernes. Une pute à aimer pour quelques instants et à oublier le jour suivant. Princesse imparfaite qui trouvait sa valeur que lors des nuits. Entre les draps souillés et les hommes affamés. Il était un Montaigu, Roméo un peu perdu. Un enfant devenu un peu trop vite grand. Un fou d'amour aveuglé d'égoïsme, il aurait pourtant tout donné pour que ça ne s'arrête jamais un jour. Il aurait tout donné pour qu'elle n'ait que lui a aimé. Pourtant, c'était écrit là-haut dans les étoiles qu'ils n'étaient pas fait pour cette vie. A trop vouloir s'attraper, ils se sont écorchés. A trop vouloir se retrouver, ils se sont déchirés. A trop vouloir s'aimer, ils se sont tués. Parce que, finalement, c'est bien dans la mort de leur amour qu'ils renaîtraient. C'est peut-être seulement là qu'ils se sont aimés plus que jamais. Et, si elle avait changé ? Si elle avait effectivement fini par se sacrifier ? Si elle avait enfin décidé de se ranger ? Il aurait fini par s'en lacer. Il était là le plus intéressant dans cette histoire. Coco, c'était un défi. Coco, c'était le goût de l'interdit. C'est parce qu'elle faisait tâche dans le beau monde qu'on l'adorait. C'est parce qu'elle n'avait pas sa place dans le grand monde qu'on l'aimait. Coco, c'était la bouffée d'air frai qui chamboulait l'ennui. Coco, c'était l'électrochoc qui bousculait la vie. Coco, c'était tout ce qu'on désirait mais, que l'on ne pourrait jamais atteindre. Coco, c'était une curiosité abstraite qui ne voulait jamais s'éteindre. C'était un défi à braver. C'était une quête malsaine dont on ne pouvait se décrocher. Coco elle était tout quand on ne pouvait la saisir dans ses bras mais, une fois attrapée, une fois apprivoisée, on ne la désirait plus. Son charme sauvage de l'indomptable, aurait fini par se ternir. Un beau matin, elle aurait même fini par vieillir. L'aurais-tu encore aimé de la savoir uniquement à toi ? L'aurais-tu encore désiré si elle n'avait plus eu que toi ? Non, elle aurait perdu sa saveur enivrante de femme de l'ombre. Elle aurait perdu son parfum marqué de tous les autres qui s'en venaient mourir contre sa peau. Elle aurait perdu l'étincelle de rareté dans ses prunelles usées. Elle aurait perdu cette singularité féroce qui la rendait unique aux yeux de ton coeur. Coco, se serait éteinte et ton amour avec. « Pourquoi faudrait-il un coupable dans cette histoire? Ta seule faute ou la mienne? Ne peut-elle pas être commune? Ou uniquement de mon fait si c'est ce que tu veux? Il y a six ans, c'était pas facile. Et nous étions jeune et con. Tu cherches l'apaisement chaton. Mais penses tu le trouver de cette façon? » Jeunes et cons. Affreusement jeunes. Redoutablement cons. Trop cons pour que cette misère vous épargne. Trop jeunes pour avoir voulu jouer les grands trop vite. Vous n'étiez probablement pas à la hauteur. Si peu, que tout ça, vous a échappé. Et, avant même que vous puissiez vous en rendre compte, c'était terminé. Il n'y avait nul coupable et nulle victime. Il y avait seulement deux fous lancés à vive allure sur des routes bien différentes. Elles auraient pu, un jour, se croiser mais, cette chance ne vous a pas été donnée. Si coupable il devait y avoir, ce n'était, finalement, ni elle, ni toi. C'était peut-être la vie elle-même, trop cruelle. Peut-être le temps, trop égoïste. C'était peut-être l'amour, trop pessimiste. C'était tout ce qui gravitait autour mais, certainement pas vous. « J'te déteste d'être une exception et t'aime d'être cette même exception. J'te déteste… » Écho sourd qui venait rebondir contre le coeur. Ces mots, ils étaient restés enfouis et n'avait trouvé d'existence que du bout de ses lèvres. Ils étaient pourtant, bien là, mu par l'incapacité à reconnaître ce qu'il en était. Pas à voix à haute. Pas devant elle. Pas pour elle. Elle, l'exception. La seule et unique. La seule et pourtant, une parmi tant d'autres. La seule qui occupait tout. L'esprit, le coeur, l'âme, le corps. Tout. Tout et rien puisqu'elle qu'elle n'y avait plus sa place. Un greffon nécessaire mais, repoussé, rejeté, exécré. Et, il était venu le temps d'en prendre conscience. Il était venu le temps de l'avouer pour peut-être s'en décrocher. L'assumer pour enfin l'accepter. Exorciser ses vieux démons pour s'en débarrasser. Les bras grands ouverts face à la fatalité. Si aimer ou avoir aimé avait été une honte, aucun homme ne l'aurait éprouvé. Ce n'était qu'une bêtise humaine parmi tant d'autres. « nous sommes deux à aimer dans la haine de l'autre. au moins une chose sur laquelle on s'est toujours accordé et où on s'accordera toujours » Murmure étouffé dans un chaste baiser sur le sommet du front. Soupire comblé qui s'évapora dans le renoncement de l'étreinte. Et, il disparut comme il était venu. Lui et les troubles. Lui et les angoisses. Lui et toute la souffrance qu'il avait traîné à ses côtés jusqu'à ce fameux jour. Lui et tout ce qu'il restait encore à dire, à découvrir. Lui et ses souhaits refoulés. Lui et ses caprices torturés. Il disparut comme il était arrivé, dans la beauté de l'impulsivité. Comme il l'avait toujours fait depuis. Arrachant sans prendre le temps tout ce qu'il restait entre eux avant de s'y laisser perdre, sans quoi il n'aurait jamais renoncé. Sans quoi, c'est elle qui y pendrait plaisir et ça, il ne pourrait jamais plus le lui laisser. C'était tout ce qu'il lui restait. Le choix. Le choix de tout écourter comme de tout prolonger. Le choix d'en pleurer comme de s'en amuser. Le choix de l'oublier comme de la vénérer à jamais. Le choix de partir le coeur léger ou le coeur brisé. Le choix de la retrouver ou de ne plus jamais se retourner. Il l'avait, oui mais, le savait il au moins ?
Dernière édition par Javier Plènozas le Mer 2 Nov - 12:34, édité 8 fois |
| | | Lysandre Atkins L'homme qui murmurait aux chattes.
Messages : 1298 Emménagement : 13/04/2016 Pseudo : nath Avatar : Yuri Pleskun ( good vibes./ gif tumblr & citation c.baudelaire Autres comptes : Teagan & Maverick. Bonus à long terme : 298
Âge : 20 ans. (19/02) Statut : célibataire et c'est pas prêt de changer, j'aime trop ma liberté. Occupation : je lutte contre l'envie de me bousiller. Rps en cours : Elyxir / Dim / Tallulah / Mathys / Nora
à venir Evan / Victor
| Sujet: Re: sucer des glands ne fera pas de toi un écureuil Jeu 26 Mai - 0:25 | |
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| | | Javier Plènozas Dr. JEKYLL & Mr CONNARD
Messages : 1691 Emménagement : 25/05/2016 Pseudo : anarchy Avatar : Diego Barrueco (anarchy) Autres comptes : la belle aux princes presque charmants #dinogirl Bonus à long terme : 1319 Âge : vingt huit ans Statut : 404 error #cotorepdulove Occupation : officiellement grand patron d'entreprise, officieusement patron de l'office du plaisir Rps en cours : Coco & Ike & Rae & Amos & Riley & Cal & Tc commun | Sujet: Re: sucer des glands ne fera pas de toi un écureuil Jeu 26 Mai - 0:28 | |
| Tu m'as tué avec ta question je peux pas te répondre cela dit Merci à toi Lyschou |
| | | Riley Moore #FuckMeTender
Messages : 1634 Emménagement : 13/03/2016 Pseudo : Pouley + Gwendolineuuuuh Avatar : Scarlett Simoneit (bb Javi <3) Autres comptes : x Bonus à long terme : 287 Âge : 24 ans d'aventures douloureuses Statut : Amante des âmes torturées, mariée à Satan Occupation : Prostituée sous l'emprise de Javier Rps en cours : Evan#2 ~ Baya#2 ~ Cal ~ Javier#6 ~ Jude#2 | Sujet: Re: sucer des glands ne fera pas de toi un écureuil Jeu 26 Mai - 0:28 | |
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| | | Lula Rose Y A PERSONNE AU BALCON.
Messages : 1318 Emménagement : 27/04/2016 Pseudo : flightless bird, manon. Avatar : elashiry, fbird (avatar), signature (tumblr). Autres comptes : cal flores. Bonus à long terme : 210 Âge : vingt-trois. Statut : désordonné. Occupation : barmaid à l'éruption solaire. Rps en cours : elis. | Sujet: Re: sucer des glands ne fera pas de toi un écureuil Jeu 26 Mai - 0:31 | |
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| | | Nora Chamberlain MADAME CHAMBY LEWIS
Messages : 7249 Emménagement : 01/12/2015 Pseudo : alexia, moonstruck. Avatar : nicola peltz, balaclava. Autres comptes : sony, arìa, elis. Bonus à long terme : 89 Âge : vingt-deux ans. Statut : #pouetpouet Occupation : tornade blonde à l'éruption solaire. Rps en cours : doudou, rust, lys, iké, mia. | Sujet: Re: sucer des glands ne fera pas de toi un écureuil Jeu 26 Mai - 0:40 | |
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| | | Javier Plènozas Dr. JEKYLL & Mr CONNARD
Messages : 1691 Emménagement : 25/05/2016 Pseudo : anarchy Avatar : Diego Barrueco (anarchy) Autres comptes : la belle aux princes presque charmants #dinogirl Bonus à long terme : 1319 Âge : vingt huit ans Statut : 404 error #cotorepdulove Occupation : officiellement grand patron d'entreprise, officieusement patron de l'office du plaisir Rps en cours : Coco & Ike & Rae & Amos & Riley & Cal & Tc commun | Sujet: Re: sucer des glands ne fera pas de toi un écureuil Jeu 26 Mai - 0:52 | |
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| | | Elias O'Domhnaill BEAU ET CON
Messages : 3351 Emménagement : 11/04/2016 Pseudo : ALLES Avatar : Nicolas Simoes / SWEET DISASTER Autres comptes : Maël, Anna & Mathys. Bonus à long terme : 112 Âge : 26 ans (31 janvier). Statut : Avec le plus merveilleux des hommes : Noah.. Occupation : Anciennement barman, maintenant... viré. Rps en cours : Adam ♫ Jude | Sujet: Re: sucer des glands ne fera pas de toi un écureuil Jeu 26 Mai - 10:35 | |
| Ahah ton titre. Rebienvenue.
Dernière édition par Elias O'Domhnaill le Jeu 26 Mai - 10:54, édité 1 fois |
| | | Noah Gallager KING DISNEY
Messages : 1132 Emménagement : 22/04/2016 Pseudo : hope Avatar : théo james + kath Autres comptes : evan & seth Bonus à long terme : 82 Âge : 30 bougies - 26 novembre Statut : “As he read, I fell in love the way you fall asleep : slowly, and then all at once.” - TFIOS, J. Green (Elias&Noah) Occupation : antiquaire + monsieur loyal Rps en cours : elias (9), sky | Sujet: Re: sucer des glands ne fera pas de toi un écureuil Jeu 26 Mai - 10:39 | |
| Ton titre m'a tellement tuée :indie: :indie: Faut grimper aux arbres pour devenir un écureuil, pas aux rideaux :bj2: Rebienvenuuuue ! Excellent choix de scénario J'adore le début de ta riche, hâte de lire la suite |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: sucer des glands ne fera pas de toi un écureuil Jeu 26 Mai - 10:53 | |
| rebienvenue bb. tu me garderas un lien du coup. mais attends, il est mac? |
| | | Javier Plènozas Dr. JEKYLL & Mr CONNARD
Messages : 1691 Emménagement : 25/05/2016 Pseudo : anarchy Avatar : Diego Barrueco (anarchy) Autres comptes : la belle aux princes presque charmants #dinogirl Bonus à long terme : 1319 Âge : vingt huit ans Statut : 404 error #cotorepdulove Occupation : officiellement grand patron d'entreprise, officieusement patron de l'office du plaisir Rps en cours : Coco & Ike & Rae & Amos & Riley & Cal & Tc commun | Sujet: Re: sucer des glands ne fera pas de toi un écureuil Jeu 26 Mai - 11:20 | |
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| | | Rafaëlle Coolidge la folie qui fait tout
Messages : 2449 Emménagement : 02/12/2015 Pseudo : marine Avatar : bb lapin. (@faust) Autres comptes : tigrou et maé. Bonus à long terme : 0 Âge : vingt-trois. Statut : FAN TEAM TIGRA! Occupation : banditisme. Rps en cours : | Sujet: Re: sucer des glands ne fera pas de toi un écureuil Jeu 26 Mai - 11:55 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: sucer des glands ne fera pas de toi un écureuil Jeu 26 Mai - 12:00 | |
| bah, tout dépend de si il se fait choper par indiana. |
| | | Nora Chamberlain MADAME CHAMBY LEWIS
Messages : 7249 Emménagement : 01/12/2015 Pseudo : alexia, moonstruck. Avatar : nicola peltz, balaclava. Autres comptes : sony, arìa, elis. Bonus à long terme : 89 Âge : vingt-deux ans. Statut : #pouetpouet Occupation : tornade blonde à l'éruption solaire. Rps en cours : doudou, rust, lys, iké, mia. | Sujet: Re: sucer des glands ne fera pas de toi un écureuil Jeu 26 Mai - 12:02 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: sucer des glands ne fera pas de toi un écureuil Jeu 26 Mai - 12:25 | |
| rebienvenue par ici Javierito |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: sucer des glands ne fera pas de toi un écureuil Jeu 26 Mai - 12:35 | |
| non mais.. |
| | | Loan Caldwin ON L'APPELLE MONSIEUR PORC.
Messages : 583 Emménagement : 17/12/2015 Pseudo : mymy Avatar : shanina shayk (tearsflight) Autres comptes : charlie Bonus à long terme : 0
Âge : 23 ans Statut : Complicated Occupation : chroniqueuse radio de la rubrique 'coté cœur'. Elle se fait appeler Vénus.
| Sujet: Re: sucer des glands ne fera pas de toi un écureuil Jeu 26 Mai - 18:16 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: sucer des glands ne fera pas de toi un écureuil Jeu 26 Mai - 19:24 | |
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| | | Javier Plènozas Dr. JEKYLL & Mr CONNARD
Messages : 1691 Emménagement : 25/05/2016 Pseudo : anarchy Avatar : Diego Barrueco (anarchy) Autres comptes : la belle aux princes presque charmants #dinogirl Bonus à long terme : 1319 Âge : vingt huit ans Statut : 404 error #cotorepdulove Occupation : officiellement grand patron d'entreprise, officieusement patron de l'office du plaisir Rps en cours : Coco & Ike & Rae & Amos & Riley & Cal & Tc commun | Sujet: Re: sucer des glands ne fera pas de toi un écureuil Ven 27 Mai - 1:51 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: sucer des glands ne fera pas de toi un écureuil Ven 27 Mai - 2:13 | |
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| | | Javier Plènozas Dr. JEKYLL & Mr CONNARD
Messages : 1691 Emménagement : 25/05/2016 Pseudo : anarchy Avatar : Diego Barrueco (anarchy) Autres comptes : la belle aux princes presque charmants #dinogirl Bonus à long terme : 1319 Âge : vingt huit ans Statut : 404 error #cotorepdulove Occupation : officiellement grand patron d'entreprise, officieusement patron de l'office du plaisir Rps en cours : Coco & Ike & Rae & Amos & Riley & Cal & Tc commun | Sujet: Re: sucer des glands ne fera pas de toi un écureuil Ven 27 Mai - 2:18 | |
| Je l'ai pas dit mais c'est mon but de peupler le forum avec l'âge de glace Elle a dit que c'était tout bon sur la cb, mais on va attendre qu'elle post ici En tous cas merci |
| | | Nora Chamberlain MADAME CHAMBY LEWIS
Messages : 7249 Emménagement : 01/12/2015 Pseudo : alexia, moonstruck. Avatar : nicola peltz, balaclava. Autres comptes : sony, arìa, elis. Bonus à long terme : 89 Âge : vingt-deux ans. Statut : #pouetpouet Occupation : tornade blonde à l'éruption solaire. Rps en cours : doudou, rust, lys, iké, mia. | Sujet: Re: sucer des glands ne fera pas de toi un écureuil Ven 27 Mai - 8:40 | |
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| Sujet: Re: sucer des glands ne fera pas de toi un écureuil | |
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