cheap thrills. (elis)

regrets and mistakes they're memories made. @tumblr + woodkid. ★★★

ELIS WALSH
FEATURING DON BENJAMIN

nom : walsh. jusqu'à peu tu pensais encore être le seul en ville. c'est raté. prénoms : elis, qui signifie "dieu" en hébreu. coïncidence ? date et lieu de naissance : 20 mais 1987. âge : vingt-neuf ans, l'aube de la trentaine se rapproche. statut civil : au fin fond des emmerdes. la tête qui tourne, les yeux pour une seule démone dont les griffes te lacèrent le coeur. désespérément l'homme d'une seule femme. occupation : videur au velours bleu, combats de rue les soirs de repos. orientation sexuelle : tu n'as d'yeux que pour les courbes féminines. fonds du foyer : $$, quand les combats te gardent la tête hors de l'eau. désir à long terme : tu erres sans but depuis trop longtemps maintenant. compétences : perspicacité (6/10), logique (6/10), capacité à te foutre dans la merde (10/10), te battre (8/10), trop dormir (7/10), éviter les confrontations (7/10), ponctualité (8/10), rester concentré (4/10), faire le ménage (2/10), gagner au poker (7/10), cuisine (4/10). traits de caractère : t'es arrogant. t'es presque détestable, quand t'es comme ça, quand tu joues à être ce mec, ce p'tit con, imbuvable, indomptable. et pourtant t'es pas méchant, t'es pas l'emmerdeur de service non plus, t'es même calme, presque trop calme, silencieux, rigoureux, calculateur. intransigeant, avec tout le monde mais surtout avec toi-même, t'observes tout avec une grande attention, et surtout, t'oublies jamais rien. t'aimes ça, avoir l'avantage sur les autres, presque supérieur, entêté dans ta quête pour la raison. mais t'es comme ça, têtu, borné même, et personne ne peut te faire entendre raison. et puisque t'es tout aussi déterminé, t'envisages jamais de lâcher le morceau. et tu te prends la tête, sur tout et n'importe quoi, tellement que ça en devient parfois insupportable pour ton entourage. t'es plutôt chiant comme garçon, quand on y pense, t'es même un peu grognon, pas très abordable. t'es droit, fier, et tu te laisses pas marcher sur les pieds. jamais. t'as toujours pensé que t'avais besoin de personne pour survivre ici, et c'est ce dont tu continues de te persuader jour après jour. mais voilà, t'es comme tout le monde elis, t'es humain, et t'as besoin des autres pour te sentir en vie, t'as besoin qu'on te fasse sentir que t'existes. tu portes un regard ouvert sur le monde, et t'es même plutôt curieux - bien qu'indiscipliné, une tare qui te suit depuis que t'as décrété que l'école, c'était pas pour toi - ce qui t'as rendu plus qu'impatient avec le temps. et même si t'es d'apparence plutôt froide, tu renfermes plus que ce mec inaccessible. tu pourrais peut-être même aller jusqu'à dire que t'es un mec adorable, dans le fond, si on cherche bien, mais faudrait quand même pas pousser. aspiration : plaisir.

signe astrologique : taureau. prénom de l'ami imaginaire : aucun ami imaginaire, t'es pas encore fou. plat préféré : tagliatelles. couleur préférée : vert impérial. genre de musique apprécié : électronique. attirances : les filles trop sauvages, volages, indomptables, celles qui, ironiquement, causeront ta perte. tues l'amour : les filles trop sauvages, volages, indomptables, celles qui, ironiquement, causeront ta perte.

Les vilains petits détails

01. t'es pas très famille. y a qu'une seule personne qui compte pour toi, ton frère. quelqu'un qui importe suffisamment pour que tu envisages de tout quitter, pour qui t'as déjà tout laissé tomber. aussi loin que tu te souviennes, ça a toujours été comme ça. elis et jad, jad et elis. 02. t'as enfin compris qu'on sort pas des emmerdes. elles finissent toujours par vous rattraper, quoi qu'il arrive. 03. à presque trente piges, t'as jamais vraiment fait quelque chose de ta vie. t'y penses, parfois, dans le noir, et tu te dis qu'il serait trop dur de tout changer. t'as pas les épaules pour ça, alors tu te contentes de faire ce que tu fais le mieux : le p'tit con. 04. tu t'adonnes aux combats de rue depuis bien trop longtemps maintenant. paris déloyaux, rencontres illicites. dans la jungle urbaine, c'est la loi du plus fort qui prime sur le reste. 05. tu conduis une vieille moto cross, bien souvent pleine de boue. 06. adepte de la vitesse, des profondeurs et des interdits. jeux dangereux, rien ne t'arrête. 07. t'es ordonné et calculateur. tu vois toujours la situation avec un point de recul, tu pars avec un coup d'avance sur chacun de tes adversaires. 08. t'as compris très tôt que la vie t'offrirait jamais rien de plus que ta situation pourrie. si tu veux réussir à quelque chose, faut l'obtenir de toi-même. le travail a toujours payé, c'est la seule chose que tu retiens de ce monde. 09. t'es à montsimpa depuis quelques années déjà, t'as fui quand ta conscience t'a joué des tours. tu sais pas ce que t'y as trouvé, à cette petite bourgade, tu t'es laissé porté par le vent jusqu'à ce qu'il ne t'amène à montsimpa, tu supposes. ou bien jusqu'à ce que la vieille bagnole que t'avait avant ne te fasse défaut sur la nationale à l'entrée de la ville. 10. t'es adepte des jeux, et des jeux d'argent en général. mais le poker, ça, c'est ton dada.

Il était une fois, une histoire de Sims

décadence. ★★★ tout s'agite autour de toi. la foule, les cris, les poings s'élèvent, dans l'air, en signe d'encouragement ou au contraire, de protestation. t'es bien habitué de ces endroits, choisis presque minutieusement malgré qu'ils ne paient pas de mine. des terrains vagues, des granges abandonnées, ou bien des vieux garages pas très réglo une fois l'heure de la fermeture annoncée. c'est un soir comme un autre. un soir merdique. t'as envoyé bouler ta mère et son mec que tu peux pas piffrer, et t'as laissé la trace de tes pas sur le bitume. t'y viens tous les vendredis, parfois plus, quand ton fric se dilapide bien trop rapidement. t'es un mec plutôt calme en fait. t'as jamais eu besoin de l'alcool, de la came pour t'éclater. ton adrénaline, elle est ici. les poings que t'évites ou que tu fais s'écraser sur la face de ton adversaire, combats déloyaux sans aucune réglementation. il est ici, ton qg. à toi, et à toi seul. alors quand tu l'aperçois, sur le ring improvisé, mordant la poussière, tu dérailles. tu le vois, jad, le poing d'un connard s'abattant sur l'arrête de son nez, et tu sais pas, y a un fusible qui grille, y a ton cerveau qui fait pas le lien. parce que tout ça, c'est ton monde. tes conneries. tes erreurs. et il est là, comme si rien n'était, comme si lui aussi, trouvait sa place au milieu de ce chaos. t'as l'impression de revoir le p'tit con que t'étais des années en arrière et tu supportes pas, l'idée qu'il qu'il soit comme toi. alors tu fais demi-tour et tu t'en vas, là où il ne viendra pas te chercher.

lunaire ★★★ tu revois son visage. son air enjoué. ses yeux rêveurs qui t'auraient transporté n'importe où. la pureté de son âme. l'éclat de son regard. la douceur de ses gestes. avec margo t'avais l'impression de redevenir un gamin. ce petit être en mal d'affection. cet enfant à réparer. ce mec presque doux. c'est dingue mais margo, elle avait la solution. elle apaisait tes colères et tes rancoeurs. elle te transportait dans un monde différent du tien et avec elle t'avais l'impression d'être un mec bien. avant elle, t'as jamais pensé que quelqu'un comme margo pouvait exister. et tu l'as croisée, un soir de pleine lune, et tu sais pas, t'as accroché. d'une façon que t'aurais pas pensé possible. mais margo, elle a ce pouvoir sur les gens, ce pouvoir sur toi, de te faire croire que tu vaux mieux, que tu peux être différent. que y a plus, pour toi, que les combats et l'argent facile. et pendant un temps, t'y as cru. t'as changé. t'es devenu un mec comme les autres, un mec dans les rangs. tu l'aimais pas vraiment, margo, mais sa présence était meilleure que tout ce que t'as connu. et puis margo est partie et t'as compris que la vie posée n'était qu'un mirage.

pseudo/prénom : une déesse cachée parmi les mortels. cheap thrills. (elis) 1331829120